Unfallen, bonjour! D'entrée de jeu, d'où n’êtes-vous pas tombés pour vous nommer ainsi?
D'où êtes-vous tombés pour poser cette question!? Nous avions 14 ans quand nous avons nommé le band et cela n'avait pas vraiment de signification à l'époque. Unfallen n'a maintenant plus la même signification qu'au départ. Mais ''Unfallen'' veut quand même ironiquement dire déchu (Selon Google translation), ce qui représente quand même bien notre état actuel.
Les premiers balbutiements du band remontent à 2004, mais avec tous les changements de personnel que vous avez connu jusqu’à maintenant, peut-on affirmer que Unfallen n’a montré son vrai visage que depuis l'arrivée de Vince à la batterie en 2008?
Oui! On a retravaillé toutes nos tounes depuis son arrivée vu son style complètement différent de l'ancien drummer. Depuis, ça varge! Notre musique à fait un virage à 180 degrés vers le death metal. Il faut aussi dire que depuis l'arrivée de Vince, un gros coup de motivation a été donné, avec l'enregistrement de notre demo l'an dernier, notre participation au concours 2nd Skin Rock Contest au printemps, notre tournée cet été et la tournée de fous que nous sommes en train de vivre en ce moment! C'est sans compter tous les projets à venir...
Comment avez-vous vécu tous ces changements de musiciens au sein du band?
On a sué d'la poche en masse mais ça a valu la peine (en gros, on a travailler fort). Ce changement de musiciens nous a donné plein d'idées et de projets et nous a aussi permis de concrétiser le style musical qu'on recherchait vraiment.
Comment décririez-vous votre son et ça ressemble à quoi un spectacle d’Unfallen?
On peut dire qu'on sonne à peu près comme Hiroshima du point de vue de Mel Gibson.
Quelles sont les étapes par lesquelles passent vos chansons avant d'officiellement voir le jour?
Les guitaristes composent des riffs, enfermés dans le local, isolés de tout pour une meilleure méditation. De ce nuage peut sortir de bonnes idées. Ensuite, on appelle un robot à blast beat du nom de Vince pour mettre un tempo là-dessus. Alors, la basse est placée là-dessus et les chanteurs se servent du produit fini pour y mettre les paroles. Une fois la toune terminée, on la pratique plusieurs fois pour pouvoir en tirer les points forts et les points faibles, question de faire les derniers ajustements. Habituellement, ça marche plutôt bien!
De façon générale, vos textes traitent de quels sujets?
Il n'y a pas de généralités. Nos tounes peuvent autant parler de sujets personnels qui nous tiennent à coeur, d'actualité, de religion, de notre point de vue de la société ou... de pot.
Pourquoi et comment en êtes-vous venus à être représentés par Trurockstar? Ça fait longtemps que vous collaborez avec Jonathan Trudel?
En gros, Tru a commencé à booker des shows pour nous en juin de l'an passé et, de fil en aiguille, notre collaboration a continué de façon à ce qu'il devienne notre gérant. Il est un peu comme le ''cinquième Beatles''. Il a beaucoup de qualités que nous n'avons pas tous, comme un très bon sens de l'organisation et un sens des responsabilités aiguisé.
Mis à part jouer de la musique, quelle est votre activité favorite en tournée? Vous avez une anecdote croustillante à partager avec nos lecteurs?
Manger, boire, méditer (lol), puer, se laisser pousser le poil. Anectode croustillante... David Rousseau qui vomit le pénis à l'air devant sa petite sœur à Rimouski.
Vous prendrez part à une tournée mettant en vedette Kataklysm cet automne, comment entrevoyez-vous cette opportunité?
On est très contents. C'est une très bonne opportunité de rencontrer d'autre gens du domaine, qui sont beaucoup plus expérimentés et qui en ont beaucoup à nous apprendre. Ça nous permet aussi de se faire pas mal de fun, de voyager et de gagner de la visibilité, surtout dans des endroits où nous ne sommes jamais allés.
Avez-vous quelques projets en préparation qui nous seront exposés dans un futur rapproché?
Bien sûr! Nous enregistrons un album d'environ 10 pièces au Badass Studios avec Jeff Fortin (Neuraxis, The Last Felony) en janvier prochain.
Quels rêves, jusqu’à maintenant cachés dans le fond de sa garde-robe, Unfallen caresse-t-il?
Voyager à travers le monde, en jouant notre musique.
Comme plusieurs groupes de la région (voire la province) de Québec, vous avez participé à quelques concours par le passé. Comment percevez-vous ce genre d’exercice? Avez-vous l'intention de répéter l'expérience?
On n'est pas trop fervents des concours. Les concours ne sont pas nécessairement adaptés pour notre style de musique. Par contre, c'est certain que c'est une expérience formatrice et enrichissante pour un band qui cherche à se faire connaître.
À votre avis, quels groupes originaires du Québec sont de véritables modèles et lesquels devrions-nous surveiller de plus près au cours des mois à venir? (Mis à part vous bien sûr!)
A notre avis, THE LAST FELONY, de Montréal sont excellents dans leur domaine et sont une très grande source d'inspiration pour nous. P'tite pub pour nos chums, HEARTLESS est un band du Saguenay qui arrache vraiment. À découvrir absolument.
La citation du mois de Unfallen:
JÄGERBOMB!!!
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Les Deux Snoozes
CJMD FM 96,9
Jeudi, 18h00 à 20h00
Rock-MN
CKMN 96,5
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Du Punk Au Presbytère
CH2O 103,1
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